dimanche 22 avril 2012

Nuxx Channel : Chicks On Wheels

Quelques filles endiablantes, des guitares endiablées, une touche de psychédélisme... Juste ce qu'il faut pour flemmarder le dimanche !
Julie Driscoll (Brian Auger n'étant jamais loin...)
 Marsha Hunt (qui reprend Johnny Jenkins...)
Earth And Fire ("Sauvage et excitante"...)
The Rattles (et leur fameuse sorcière...)
Heart (deux sœurs et leurs hommes magiques...)

jeudi 19 avril 2012

La chasse aux papillons

J'en suis aujourd'hui à m'interroger sérieusement : à trop visionner - et de façon quasi-exclusive - des films de vampires lesbiennes, et ce à peu près toutes périodes confondues, ne suis-je pas en quelque sorte devenu un geek de la chose (si elle existe) ? Après tout, les symptômes y sont. Et une auto-analyse succincte, en regard de la fréquence du temps passé sur les forums consacrés, mais également à la présence des posts ayant trait au dit sujet au sein des pages de ce blog, n'y verrait sûrement rien à contredire. Il faudrait donc que je voie à assumer enfin cette nouvelle facette de ma personnalité... Bon.  Il en sera donc ainsi.
Il y aurait donc, de surcroit, geek et geek ? C'est possible, comme dit le proverbe. Il y aurait donc, j'imagine, d'un côté, celles et ceux qui auront vu la quasi-exhaustivité des films produits par la Hammer avec Christopher Lee, Peter Cushing ou Ingrid Pitt dans les rôles principaux. Soit. J'aurais pu en être (si, à la fin du compte, ce n'était pas surtout le côté "sensuel" de la chose que j'avais retenu. Mais ce n'était pas ma faute : la preuve : ici). Mais il y aurait donc également, j'imagine toujours, un autre côté. Celui où l'on retrouverait celles et ceux qui ne se sont pas arrêtés en - si bon - chemin. Celles et ceux que la "vampiro-cinéphilie" a poussé à s'interroger au-delà des frontières jalonnées par les puristes, à questionner le monde entier, en quête de trésors cachés, enfouis dans des contrées secrètes, lointaines et exotiques qui, rien qu'à évoquer leur nom, nous font déjà rêver : le Pakistan ou la Serbie, par exemple...
Car nous voilà finalement arrivés. Après un "Dracula au Pakistan" de 1967 déjà mémorable, il est aujourd'hui question du tout premier film vampirique serbo-croate jamais tourné. L'objet en question s'appelle "Leptirica" (mite ? papillon ?), affiche bientôt quarante ans au compteur, et est devenu culte tout en demeurant inexistant en DVD et/ou VHS. Film maudit ?... "C'est vous qui voyez", j'ai envie de dire. Parce que : oui, justement, il faut le voir pour le croire.
Historique ? Culte, disais-je ! Et aux antipodes des canons de la Hammer : ici, point de châteaux poussiéreux éclairés à la bougie, et on oubliera volontiers la théâtralité du vampire en question (le folklore serbe n'étant décidément pas le folklore anglais, et vice et versa). La vérité est ailleurs. Et c'est précisément ce que je trouve fascinant dans ce genre de films. Faussement naïf, touchant, le film semble davantage lorgner vers son cousin tchèque "Valerie and her week of wonders" (un film qui, pour moi, déclencha tout), sorti un peu plus tôt, et dont la blonde héroïne (soupir...), femme-papillon, n'en est peut-être qu'une descendante pas si éloignée. Mais, là, je fantasme sûrement...

lundi 9 avril 2012

Interdit aux moins de douze ans

Ce souvenir doit logiquement remonter à mes années passées au collège (vers 1986-87, je dirais, puisque j'avais réussi, grâce à la complicité paternelle, à aller voir la susdite réédition du "Bal des vampires" avant l'âge légal indiqué sur l'affiche). Hé hé hé... Malheureusement, c'est aussi de là qu'une partie de mes malheurs d'adolescent découla : hélas ! comme beaucoup d'autres hommes à la sortie du film, j'étais tombé amoureux de Sharon Tate. Car c'était indéniablement ELLE qui, du début à la fin, m'avait bel et bien vampirisé !
Bien évidemment, on comprendra mieux en restituant le technicolor de l'époque. Parce que, en plus, elle était rousse... Et tous ceux qui, comme moi, ont vu ce film à une époque ou à une autre furent, j'en suis persuadé, à jamais marqués par cette scène de bain qui n'en finit paaaaas.
 
D'autant plus que, une bonne nouvelle n'arrivant jamais seule, il se trouve que, un peu plus tard dans le même film, la "vamp" en question nous gratifie d'une seconde séquence dans une autre baignoire... Autant dire que, pour l'adolescent que j'étais, ce furent des moments... inoubliables. Peut-être pas au sens cinématographique du terme, certes, mais pas loin - à tout prendre, au moins au niveau de la photogénie.
Bref : voilà. Sharon Tate. Et tout est dit. Mais il ne faut pas croire que toutes les photos furent extraites du film même. Je soupçonne le réalisateur d'en avoir profité lors du tournage... De toute façon, depuis, je déteste Roman Polanski. (Et aussi Charles Manson, forcément.) Même si j'ai dû revoir le film une demi-douzaine de fois.... En revanche, ayant lu "Carmilla" entretemps, je ne peux plus m'empêcher désormais d'aimer les films de vampires avec de belles femmes aux longs cheveux dedans. Roux ou non.
L'on pourra toujours continuer de rêver ici...

lundi 2 avril 2012

Nuxx Channel : Bach est-il une rockstar ?

Et je le prouve :
 (Jethro Tull "Bourrée", 1969)
(Egg "Fugue in D minor", 1970)
(Fusioon "Tocata Y Fug", 1974)
(Aleph "Toccata", 1971)
Etc., etc. Qui sait ? Je suis convaincu qu'il aurait même pu faire carrière en tant que producteur-compositeur-arrangeur-remixeur, ce sacré Johann !...